Kigali-Rwanda: Felix Tshisekedi annonce le rétablissement de la sécurité en RDC bientôt
Le président de la République Démocratique du Congo a accordé une première interview à la presse de son pays ce Mardi, 25 Mars 2019 à Kigali au Rwanda à l’occasion du forum économique organisé par le pays des mille collines. Toutes les questions des journalistes ont tourné autour de l’insécurité qui prévaut à l’Est du pays. Félix Antoine Tshilombo a promis s’y atteler dans peu de temps à fin que la paix total règne sur toute l’étendue du pays.
« Mes services techniques travaillent sur la question de l’Est du pays et de Goma en particulier. Nous ne saurons pas chaque fois adresser des messages de condoléance à la population chaque fois qu’elle perd les tiens. Nous allons rétablir la paix sur toute l’étendue du pays dans un bref délais » annonce le Président FATSHI devant la presse de Goma qui est allé à sa rencontre au pays de Paul Kagame. Dérangé par des troubles grandissantes qui sont observés çà et là en province du Nord-Kivu, le Chef de l’Etat n’a qu’un seul signal : « Nous allons massacrer tous les groupes armés. Les stratégies sont déjà mises en place, nous ne saurons pas les dévoiler maintenant »
Le Chef de l’Etat a sollicité la main du peuple pour éradiqué l’insécurité. « J’arriverais à Goma après m’être rassuré avec les services réhabilités que nous venons mettre fin à la question d’insécurité. Nous y travaillons et nous allons y parvenir » dit-il avec une erre rassurante. « Faites-moi confiance » a répété plus de deux fois Félix Tshisekedi.
Les pays voisins doivent s’impliquer
A la question de savoir comment le président la RDC se fait ami des pays qui sont pointés du doigt accusateur de semeurs des troubles au pays de Lumumba, Félix Antoine Tshilombo annonce que tous les pays devraient fournir assez d’effort pour que cette paix soit durable et profite à tous les Etats voisins. « C’est n’est pas la RDC qui se plaint que ses agresseurs proviennent des pays voisins. Même ces pays pensent que leurs agresseurs seraient cachés en RDC ou dans d’autres pays et se sentent sous menace » fait-il savoir. « Nous avons donc intérêt à travailler ensemble pour cette question sécuritaire dans nos pays » déclare le premier citoyen congolais.