Tueries à Beni : Yvan Simwerayi fait une lettre ouverte à la population

​​​​​​​Yvan Simwerayi est un jeune acteur politique et Juriste constitutionnaliste et Président exécutif provincial de la Dynamique Congo Uni au Nord-Kivu. Touché par les attaques à répétition, il appelle le peuple à la vigilance et à soutenir les efforts consentis par le gouvernement, les FARDC et le MONUSCO pour mettre fin à cette situation macabre. Émergence vous la propose in extension.

Tueries à Beni : Yvan Simwerayi fait une lettre ouverte à la population
Yvan Simweray

LETTRE OUVERTE AUX POPULATIONS DE LA RÉGION DE BENI EN PARTICULIER ET DU NORD-KIVU EN GÉNÉRAL. *

Chers compatriotes,

Nous ne saurons rester indifférent face à cette atrocité qui ne définit plus son mot à Béni. Nous sommes comme tout congolais irrité à cause de ces actes lâches et ignobles perpétrés par des vampires sanguinaires agissant comme de bêtes sauvages dépourvus d'humanisme qui endeuillent innocemment nos frères et sœurs à Beni.
Cependant il y a quelques questions que nous aimerons que nous nous posons réellement : Qui tuent à Beni ? Où sont-ils ? Et pourquoi aucune revendication n'a jusqu'ici été faite ? En tout vous laissant le temps de vous répondre vous-même, nous nous basons à la version officielle qui parle de présumés terroristes des ADF-NALU.

Chers compatriotes,

Ça fait pratiquement l'équivalent d'un mandat Constitutionnel d'un Président de la République démocratiquement élu depuis que Béni saigne et se vide de son sang.

Nonobstant, nous n'avions jusqu'ici jamais vu quelques lueurs d'espoir éclairées notre province comme c'est le cas depuis un certain moment.

Par la volonté et le soucis d'en finir une fois pour toute avec cette boucherie à ciel ouvert; le commandant suprême de FARDC,
Son Excellence Monsieur le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo faisant serment sur sa vie de ramener la paix à l'Est, a pris un bon nombre de décisions salvatrices qui ont commencé à présenter leurs fruits:
Primo: la délocalisation du Haut Commandement Militaire de FARDC de Kinshasa vers Béni,
Secundo: la sur militarisation de la région de Béni dont l'effectif en soldats est passé de 11 000 hommes à 21 000 hommes,

Tertio : le lancement des opérations offensives de grande envergure visant à traquer les terroristes et à les mettre hors d'état de nuire.

Ce changement de tactique a déjà commencé à produire des résultats escomptés :

  1. Plusieurs bastions illégaux de l'ennemi ont été assiégés ;
  2. Certains chefs de guerre ont été neutralisés,
  3. Plusieurs équipements de l'ennemi ont été saisis.

Cette situation, précurseur d'une victoire certaine, met l'ennemi en débande, au désarroi, à la panique. L'ennemi ne sait plus à quel diable se vouer.

Ainsi pour ralentir l'offensive militaire de FARDC, l'ennemi tente désespérément à perturber l'avancée militaire en jouant sa dernière carte : *celle de diviser pour mieux régner. *

Ayant ses émissaires au sein des communautés et dans les réseaux sociaux, l'ennemi cherche à créer un KO total à travers un soulèvement populaire qui déstabiliserait les opérations.

Voici pourquoi si nous *ne faisons pas attention et si nous ne sommes pas vigilants, * nous allons tomber dans *le piège* de l'ennemi.

1) Pourquoi l'ennemi tient à tout prix à désolidariser les populations civiles d'avec les autorités ?

L'ennemi sait que l'unique moyen pour démoraliser les militaires au front c'est de créer un conflit entre les populations et les autorités. Le désamour entre les populations et les autorités fragiliserait incessamment les opérations. Imaginez-vous être dans un match de football où les supporteurs et l'équipe technique ne s'attendent pas... Quel serait le sort de joueurs sur terrain ? Cette stratégie vise surtout à amener les populations et les autorités à ne plus parler le même langage. En cherchant les voies et moyens pour régulariser le courant entre les populations et les autorités, les militaires seront des oubliés pour compte ainsi l'ennemi pourra contrattaquer. *Soyons donc vigilants*... Brûler la mairie de Béni constitue un signal fort à l'ennemi que les populations sabotent l'Autorité de l'État... Que gagne le maire de Béni lorsque ses administrés sont égorgés ? La réponse est RIEN... Allez y comprendre qu'il ne fallait pas tomber dans ce piège de l'ennemi. Comment pouvait vous comprendre que la mairie de Beni qui était protégée par des policiers puisse être brûlée dans sa totalité sans qu'il y est l'implication d'une main noire ?

2)LA QUESTION HUILEUSE DE LA PRÉSENCE DE LA MONUSCO. Ce n'est pas un hasard si cette question refait surface au moment où l'ennemi perd du terrain.
Nous sommes tout à fait d'accord que la MONUSCO ne s'implique pas à la hauteur de nos attentes. Cependant nous aimerions vous rappeler juste une chose : la MONUSCO n'a pas un *mandat offensif*. Le mandat de la MONUSCO est d'observation ; elle se veut être une mission " *d'observation* ". Ainsi par ironie, 99.9% du personnel de la MONUSCO pouvaient aussi bien être des reporters, des journalistes, des photographes qui n'ont jamais fait la guerre. Nonobstant, étant donné que dans l'Est du pays c'est les coups de balle qui définissent la règle, les casques bleus existent pour jouer au catalyseur de la paix.

Mais depuis peu de temps, la MONUSCO a été dotée d'une Brigade d'intervention appelée la *F.I.B* qui est une force militaire offensive créée par la *Résolution 2098* du Conseil de sécurité en mars 2013.

La *FIB* est un soutien majeur pour les FARDC dans cette traque contre les terroristes :

- La *FIB* apporte un soutien logistique aux FARDC : la région de Béni où les opérations offensives se déroulent est une zone peu accessible en véhicule car elle est au milieu du parc, de la forêt et des broussailles. D'où un pont aérien est très nécessaire pour bien assister les militaires dans les champs de bataille. Ce sont les hélicoptères de la FIB qui par-exemple déplacent les blessés de la zone de combat vers l'endroit où ils doivent suivre de soins médicaux. Ce sont les hélicoptères de la FIB qui transportent souvent les vivres au front, les munitions etc.

- La FIB apporte également un soutien en renseignement sur les positions ennemies. La plupart de bastions illégaux de l'ennemi ne sont localisables qu'à partir des airs, par vol aérien faute de la présence de la forêt. Encore une fois de plus les hélicoptères de la FIB font ce travail.

Bref, en coupant les FARDC de la MONUSCO, l'on cherche à priver les FARDC de l'appui de la *FIB* , et c'est aussi tomber dans le piège de l'ennemi qui voudrait aveugler les FARDC.

Vous comprenez chers compatriotes que si nous ne faisons pas attention, si nous agissons par émotion, si nous ne sommes pas vigilants... Nous risquons de tomber dans la machination de l'ennemi.

Faisons confiance à nos autorités, elles ne dorment pas à cause de la situation sécuritaire préoccupante de Béni.

Ne suivons pas les discours populistes démagogiques des opportunistes sadiques qui, pour des raisons propagandistes font de Béni un appât électoral. Tous ceux qui appellent les populations à la désobéissance civique, à saboter les installations de l'État , à faire une chasse à la sorcière contre la MONUSCO, ces gens-là sont à la recherche des arguments des campagnes pour les élections générales de 2023 en disant "Ils vous ont promu la paix à Béni, mais ils ont échoué... Votez pour moi, j'ai fait chasser la MONUSCO à Béni" (cfr l'affaire Ebola où certains vous avaient dit qu'Ebola n'existait pas et que le vaccin était pour planter le virus afin d'exterminer une communauté. La triste vérité est que une fois élus, ils ont vite opéré une volteface sur leur argumentation électorale.)

C'est pourquoi nous émettons quelques recommandations :

1) Réitérons notre confiance aux institutions de la RDC, aux autorités, aux FARDC,
2) Désolidarisons nous des députés populistes véreux, impies d'eux-mêmes qui nous trompent jour et nuit pour leurs propres intérêts sans donner des propositions concrètes,
3) Exigeons plutôt aux Nations-Unies à diminuer le budget alloué aux cortégeant afin de renforcer le budget de la *FIB*.
4) Respectons les consignes donnés par les autorités compétentes: par exemple *le couvre-feu* décrété à Béni. Contrairement à ce qu'un populiste vous dit, ce n'est pas une mesure de confinement de la population de Béni. Par contre, comme l'ennemi tend à vouloir organiser des combats urbains, nous devons travailler conjointement à terme de vigilance pour faire une coordination entre les services de sécurité et les populations de base. La spécificité de ce couvre-feu aussi est de vouloir établir l'ordre public. Mais l'atalaku député, dépourvu d'honorabilité publie des propos blasphématoires pour amuser la galerie des rêveurs qui se croient réveillés dans leur sommeil profond.

Chers compatriotes,

Croyez-nous, l'ennemi est à bout de souffle. Certains politiques jouent *aux charognards* ils veulent se populariser derrière les cadavres de nos frères et sœurs.

Soyons vigilants populations de Béni et du Nord-Kivu.

Mettons à côté nos velléités politiques légendaires et tous comme un seul homme, traquons ces terroristes jusqu'à leur dernier retranchement en fermant nos oreilles aux charognards et aux sorciers qui se sont habitués d'alimenter leur carrière politique des cadavres abandonnés par les vampires sanguinaires... Un peu comme des hyènes les font avec les lions.

Soutenons le Chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi ;

Accompagnons le gouverneur du Nord-Kivu Carly Nzanzu Kasivita ;

Luttons à côté de nos vaillants soldats des FARDC.

Nous vous remercions.

*Yvan Simweray*

 

LETTRE OUVERTE AUX POPULATIONS DE LA RÉGION DE BENI EN PARTICULIER ET DU NORD-KIVU EN GÉNÉRAL. *

Chers compatriotes,

Nous ne saurons rester indifférent face à cette atrocité qui ne définit plus son mot à Béni. Nous sommes comme tout congolais irrité à cause de ces actes lâches et ignobles perpétrés par des vampires sanguinaires agissant comme de bêtes sauvages dépourvus d'humanisme qui endeuillent innocemment nos frères et sœurs à Beni.
Cependant il y a quelques questions que nous aimerons que nous nous posons réellement : Qui tuent à Beni ? Où sont-ils ? Et pourquoi aucune revendication n'a jusqu'ici été faite ? En tout vous laissant le temps de vous répondre vous-même, nous nous basons à la version officielle qui parle de présumés terroristes des ADF-NALU.

Chers compatriotes,

Ça fait pratiquement l'équivalent d'un mandat Constitutionnel d'un Président de la République démocratiquement élu depuis que Béni saigne et se vide de son sang.

Nonobstant, nous n'avions jusqu'ici jamais vu quelques lueurs d'espoir éclairées notre province comme c'est le cas depuis un certain moment.

Par la volonté et le soucis d'en finir une fois pour toute avec cette boucherie à ciel ouvert; le commandant suprême de FARDC,
Son Excellence Monsieur le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo faisant serment sur sa vie de ramener la paix à l'Est, a pris un bon nombre de décisions salvatrices qui ont commencé à présenter leurs fruits:
Primo: la délocalisation du Haut Commandement Militaire de FARDC de Kinshasa vers Béni,
Secundo: la sur militarisation de la région de Béni dont l'effectif en soldats est passé de 11 000 hommes à 21 000 hommes,

Tertio : le lancement des opérations offensives de grande envergure visant à traquer les terroristes et à les mettre hors d'état de nuire.

Ce changement de tactique a déjà commencé à produire des résultats escomptés :

  1. Plusieurs bastions illégaux de l'ennemi ont été assiégés ;
  2. Certains chefs de guerre ont été neutralisés,
  3. Plusieurs équipements de l'ennemi ont été saisis.

Cette situation, précurseur d'une victoire certaine, met l'ennemi en débande, au désarroi, à la panique. L'ennemi ne sait plus à quel diable se vouer.

Ainsi pour ralentir l'offensive militaire de FARDC, l'ennemi tente désespérément à perturber l'avancée militaire en jouant sa dernière carte : *celle de diviser pour mieux régner. *

Ayant ses émissaires au sein des communautés et dans les réseaux sociaux, l'ennemi cherche à créer un KO total à travers un soulèvement populaire qui déstabiliserait les opérations.

Voici pourquoi si nous *ne faisons pas attention et si nous ne sommes pas vigilants, * nous allons tomber dans *le piège* de l'ennemi.

1) Pourquoi l'ennemi tient à tout prix à désolidariser les populations civiles d'avec les autorités ?

L'ennemi sait que l'unique moyen pour démoraliser les militaires au front c'est de créer un conflit entre les populations et les autorités. Le désamour entre les populations et les autorités fragiliserait incessamment les opérations. Imaginez-vous être dans un match de football où les supporteurs et l'équipe technique ne s'attendent pas... Quel serait le sort de joueurs sur terrain ? Cette stratégie vise surtout à amener les populations et les autorités à ne plus parler le même langage. En cherchant les voies et moyens pour régulariser le courant entre les populations et les autorités, les militaires seront des oubliés pour compte ainsi l'ennemi pourra contrattaquer. *Soyons donc vigilants*... Brûler la mairie de Béni constitue un signal fort à l'ennemi que les populations sabotent l'Autorité de l'État... Que gagne le maire de Béni lorsque ses administrés sont égorgés ? La réponse est RIEN... Allez y comprendre qu'il ne fallait pas tomber dans ce piège de l'ennemi. Comment pouvait vous comprendre que la mairie de Beni qui était protégée par des policiers puisse être brûlée dans sa totalité sans qu'il y est l'implication d'une main noire ?

2)LA QUESTION HUILEUSE DE LA PRÉSENCE DE LA MONUSCO. Ce n'est pas un hasard si cette question refait surface au moment où l'ennemi perd du terrain.
Nous sommes tout à fait d'accord que la MONUSCO ne s'implique pas à la hauteur de nos attentes. Cependant nous aimerions vous rappeler juste une chose : la MONUSCO n'a pas un *mandat offensif*. Le mandat de la MONUSCO est d'observation ; elle se veut être une mission " *d'observation* ". Ainsi par ironie, 99.9% du personnel de la MONUSCO pouvaient aussi bien être des reporters, des journalistes, des photographes qui n'ont jamais fait la guerre. Nonobstant, étant donné que dans l'Est du pays c'est les coups de balle qui définissent la règle, les casques bleus existent pour jouer au catalyseur de la paix.

Mais depuis peu de temps, la MONUSCO a été dotée d'une Brigade d'intervention appelée la *F.I.B* qui est une force militaire offensive créée par la *Résolution 2098* du Conseil de sécurité en mars 2013.

La *FIB* est un soutien majeur pour les FARDC dans cette traque contre les terroristes :

- La *FIB* apporte un soutien logistique aux FARDC : la région de Béni où les opérations offensives se déroulent est une zone peu accessible en véhicule car elle est au milieu du parc, de la forêt et des broussailles. D'où un pont aérien est très nécessaire pour bien assister les militaires dans les champs de bataille. Ce sont les hélicoptères de la FIB qui par-exemple déplacent les blessés de la zone de combat vers l'endroit où ils doivent suivre de soins médicaux. Ce sont les hélicoptères de la FIB qui transportent souvent les vivres au front, les munitions etc.

- La FIB apporte également un soutien en renseignement sur les positions ennemies. La plupart de bastions illégaux de l'ennemi ne sont localisables qu'à partir des airs, par vol aérien faute de la présence de la forêt. Encore une fois de plus les hélicoptères de la FIB font ce travail.

Bref, en coupant les FARDC de la MONUSCO, l'on cherche à priver les FARDC de l'appui de la *FIB* , et c'est aussi tomber dans le piège de l'ennemi qui voudrait aveugler les FARDC.

Vous comprenez chers compatriotes que si nous ne faisons pas attention, si nous agissons par émotion, si nous ne sommes pas vigilants... Nous risquons de tomber dans la machination de l'ennemi.

Faisons confiance à nos autorités, elles ne dorment pas à cause de la situation sécuritaire préoccupante de Béni.

Ne suivons pas les discours populistes démagogiques des opportunistes sadiques qui, pour des raisons propagandistes font de Béni un appât électoral. Tous ceux qui appellent les populations à la désobéissance civique, à saboter les installations de l'État , à faire une chasse à la sorcière contre la MONUSCO, ces gens-là sont à la recherche des arguments des campagnes pour les élections générales de 2023 en disant "Ils vous ont promu la paix à Béni, mais ils ont échoué... Votez pour moi, j'ai fait chasser la MONUSCO à Béni" (cfr l'affaire Ebola où certains vous avaient dit qu'Ebola n'existait pas et que le vaccin était pour planter le virus afin d'exterminer une communauté. La triste vérité est que une fois élus, ils ont vite opéré une volteface sur leur argumentation électorale.)

C'est pourquoi nous émettons quelques recommandations :

1) Réitérons notre confiance aux institutions de la RDC, aux autorités, aux FARDC,
2) Désolidarisons nous des députés populistes véreux, impies d'eux-mêmes qui nous trompent jour et nuit pour leurs propres intérêts sans donner des propositions concrètes,
3) Exigeons plutôt aux Nations-Unies à diminuer le budget alloué aux cortégeant afin de renforcer le budget de la *FIB*.
4) Respectons les consignes donnés par les autorités compétentes: par exemple *le couvre-feu* décrété à Béni. Contrairement à ce qu'un populiste vous dit, ce n'est pas une mesure de confinement de la population de Béni. Par contre, comme l'ennemi tend à vouloir organiser des combats urbains, nous devons travailler conjointement à terme de vigilance pour faire une coordination entre les services de sécurité et les populations de base. La spécificité de ce couvre-feu aussi est de vouloir établir l'ordre public. Mais l'atalaku député, dépourvu d'honorabilité publie des propos blasphématoires pour amuser la galerie des rêveurs qui se croient réveillés dans leur sommeil profond.

Chers compatriotes,

Croyez-nous, l'ennemi est à bout de souffle. Certains politiques jouent *aux charognards* ils veulent se populariser derrière les cadavres de nos frères et sœurs.

Soyons vigilants populations de Béni et du Nord-Kivu.

Mettons à côté nos velléités politiques légendaires et tous comme un seul homme, traquons ces terroristes jusqu'à leur dernier retranchement en fermant nos oreilles aux charognards et aux sorciers qui se sont habitués d'alimenter leur carrière politique des cadavres abandonnés par les vampires sanguinaires... Un peu comme des hyènes les font avec les lions.

Soutenons le Chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi ;

Accompagnons le gouverneur du Nord-Kivu Carly Nzanzu Kasivita ;

Luttons à côté de nos vaillants soldats des FARDC.

Nous vous remercions.

*Yvan Simweray*

St Janvier Zihalirwa