Goma : Le diabète est une maladie qui tue de manière très lente et inattendu, dixit Alfred Adifundi

​​​​​​​Le taux de mortalité due au diabète ne sont pas aussi spectaculaires comme le cas d'Ebola ou même le sida et autres maladies, elle est une maladie d’autant plus que dangereuse que le coronavirus.

Goma : Le diabète est une maladie qui tue de manière très lente et inattendu, dixit Alfred Adifundi
Alfred Adifundi, Le manager de L’association des Diabétiques du Congo

En marge de la célébration mondiale du diabète célébré sous le thème : le personnel infirmier qui marque la différence.  L'association des Diabétiques du Congo a tenue au Nord-Kivu tenu une activité d’informations sur le danger que présente le diabète samedi 14 novembre. Pour cette année, l’association des Diabétiques du Congo veule beaucoup plus attirer l’attention de personnes qui vivent avec les diabétiques, de faire très attention aux recommandations que donnent les infirmiers pour la prise en charge de diabète. Le manager de L’association des Diabétiques du Congo Alfred Adifundi justifie le choix de ce thème “il marque la différence parce que les infirmiers sont les premières personnes qui encadrent et reçoivent les diabétiques et les donnent les premiers conseils qui essayent de les accompagner”

D’après ses explications, si une personne a le diabète et essayent de suivre les conseils que lui donnent les personnels soignants, cette personne aura moins de complication et pourra vivre le plus longtemps possible avec sa maladie rien qu’en respectant les consignes qui lui sont donnés par les infirmiers. Les personnes qui suivent les conseils de leurs influences, le plus souvent viennent voir leur médecin dans les conditions le plus extrêmes et la reprise de la situation devient de plus en plus compliqué.

Plusieurs facteurs contribuent à ce que la maladie puisse exister tels que l’hérédité, est souvent citée comme cas possible pour qu’un parent qui a le diabète puisse en donner à son fils. Mais, cette hypothèse n’est pas toujours vérifiée et bien identifier. Il est possible que dans une famille où il y a eu un parent diabétique, il y est dans sa descendance directe ou même dans l’autre génération de cas de diabète. Dans ce cas, il est affirmé scientifiquement que c'est dû à l’hérédité, il faut y aller avec beaucoup de réserve parce que scientifiquement prouvé, cependant, il y a des facteurs externes ou même environnementaux qui ont une influence sur la présence de la maladie comme par exemple l’alcoolisme tout en étant sensible pour la boisson, on peut avoir la chance de développer le diabète, la consommation excessive de coca cola et autres su sucreries. Pendant que vous en consommer de manière régulière sans fournir des mécanismes compensatoires pour brûler l’énergie, pour brûler les graisses, là vous risquez de développer le diabète y compris même le tabagisme. « Le régime alimentaire avec lequel nous vivons avec actuellement, fait en sorte que facilement. On peut développer le diabète » a souligné Alfred Adifundi.

Il serait mieux d'éviter des sucreries telles que les biscuits, chocolat. Dans le cas contraire. « Quand vous excédez à ces genres de pratiques, vous voudrait en faire votre menu de tous les jours et chaque instant là c'est sûr que vous allez développer le diabète », a- t-il renchérit.

Au niveau de la province du Nord Kivu, il n’y a pas de chiffres précis des personnes touchées par le diabète. L’association nationale des Diabétiques du Congo ne possède que les chiffres de ceux-là qui viennent se faire soigner et encadrer par leur association. Et ils ont 4.000 malades qui viennent annuellement pour le cas de diabète avec à peu près 63 pourcents des femmes. Ils ont également des jeunes qui sont diabétiques, il y a déjà de centaine qui viennent faire le suivi de leur santé au centre et qui vivent avec le diabète.

Nanou Kazaku