Goma : L’UNFPA engagé à accompagner le gouvernement pour la santé maternelle des déplacés

Le problème de violence basée sur le genre reste un casse-tête pour certaines femmes dans les camps de déplacés. La santé maternelle en province du Nord-Kivu reste toujours un grand problème malgré l'appui et les efforts qui ont été conjugués par le gouvernement congolais et aussi avec le fonds des nations unies pour la population (l'UNFPA) et ses partenaires. En même temps, le taux de décès reste toujours élevé. Ce qu'a révélé le représentant pays de UNFPA en RDC au cours d'une interview accordée à la presse après échange avec le gouverneur militaire u Nord-Kivu dans le cadre d'une mission de suivi des activités de son organisation en province.

Goma : L’UNFPA engagé à accompagner le gouvernement pour la santé maternelle des déplacés
Eugène Kongnyuy,représentant pays de UNFPA en RDC et le gouverneur militaire Costant Ndima

Eugène Kongnyuy, atteste : « nous devons faire tout pour renforcer l'appui pour baisser le nombre de femmes qui meurent soit en donnant la vie ou bien pendant la grossesse. Je suis satisfait de la discussion avec le gouverneur militaire de la province du Nord-Kivu qui m'a assuré de notre collaboration et l'appui du gouvernement congolais. Il a aussi lumineux que les grossesses soient protégées et que des femmes accouchent dans des bonnes conditions, que les survivantes des violences basées sur le genre soient prises en charge et il a même fait un appel spécifique pour que les femmes qui sont les survivantes de VBG dans les camps et qui deviennent une problématique aient l'appui de UNFPA »

Ce représentant pays de UNFPA en RDC révèle que dans les camps il ya une maternité qui est appuyée par l'UNFPA car dans ces lieux elles ont accès aux bons services de consultations prénatales. Elles ont également accès aux services d'accouchement. « Il ya des boîtes de plaintes dans le cas de VBG ou d'exploitation sexuelle dans le camp mais aussi il ya les services de toilettassions familiale dans les camps de déplacés » rassure-t-i.

« Je n'ai pas en ore le chiffre exact, le taux de décès dans les camps mais je sais qu'il ya des services partout dans la province, il ya encore d'endroits où les services ne sont pas encore disponibles car soit il n'y a pas de services d’infrastructures sanitaires ou les prestataires ne sont pas disponibles, soit les médicaments ne sont pas disponible, donc il ya encore beaucoup de cas mais nous faisons l'effort pour accompagner le gouvernement congolais pour que les services soient disponibles partout au Nord-Kivu » a -t- il renchérit.

Nanou Kazaku